Les morts imminentes ne sont pas toujours considérées comme possibles par certains médecins, tandis que pour d’autres, c’est un fait qui n’a plus besoin d’être prouvé.
Selon la chaîne History Channel, les scientifiques ont rassemblé plus de soixante-dix cas de personnes qui ont pu raconter leur expérience pendant le laps de temps durant lequel elles étaient cliniquement mortes. L'un des cas cités dans l'étude était celui d’un patient cliniquement mort pendant vingt minutes, après une chirurgie cardiaque à haut risque et, de façon inattendue, celui-ci revint à la vie. Selon les scientifiques, après sa résurrection, le patient a raconté très précisément ce qui s’était passé durant l’opération. Après l’analyse de dizaines de cas semblables, les scientifiques en sont venus à la conclusion que ces patients sont tout à fait conscients pendant leur mort clinique de tout ce qui les entoure, racontant précisément des scènes qui se sont déroulées durant cet instant.
17.03.2015

Dans la vallée du fleuve Jaune, en Chine, une équipe de scientifiques ont fait une découverte qui confirme le récit biblique des temps de Noé.
Ils ont mis à jour les ossements d’un enfant, probablement emporté par une grande inondation. Ces ossements datent de l’époque de Noé, pendant laquelle Dieu prévoyait de submerger la terre par les eaux. Cette découverte ébranle les opinions de scientifiques sponsorisés par certains lobbies. Néanmoins, d’autres ne sont pas surpris, et affirment que la terre témoigne de cette inondation catastrophique. Parmi eux, Ken Ham, membre du ministère Réponses en Genèse, affirme qu’il existe des tonnes de sédiments issus de la grande inondation, prouvant ainsi l’existence d’un déluge catastrophique. Il ajoute que s’il est si difficile pour certains scientifiques d’admettre la vérité du récit biblique, c’est parce que cela voudrait dire que « Dieu est le Créateur, que nous Lui appartenons, et que nous devons nous soumettre à Lui, cela veut dire que nous aurions besoin de recevoir le don gratuit du salut en Jésus-Christ ».
16.09.2016
En 2012, le célèbre sismologue Gheorghe Marmureanu faisait une remarque assez importante au sujet du nombre de séismes qui se produisent sur la Terre.
En seulement 48 heures, on avait enregistré trente-neuf tremblements de terre. Une série de chocs avaient secoué l'Indonésie, trois autres séismes le Mexique, deux autres la Roumanie. « C’est un événement extraordinaire qui ne peut pas être expliqué par la science », déclarait-il. « Les statistiques montrent que dans cette région de l'Asie, il y a un grand tremblement de terre tous les cinq cents ans environ. Toutefois, depuis 2004, il y a déjà eu trois tremblements de terre avec des magnitudes supérieures à 8, et ceci est hors de toute statistique. « Quelque chose ne va pas ! Il y a trop de grands tremblements de terre dans la région indonésienne », avait-il ajouté. En 2014, une nouvelle étude démontrait qu'il y a eu deux fois plus de grands tremblements de terre dans le premier trimestre de l’année par rapport à la moyenne depuis 1979. « Nous avons récemment connu une période qui a vu l'un des taux les plus élevés de grands tremblements de terre jamais enregistrés », déclarait Tom Parsons, auteur de l'étude et chercheur en géophysique. À cela, ajoutons le bilan mondial des catastrophes naturelles (inondations, épidémies, tempêtes, etc.) de plus en plus en hausse avec de plus de 220 millions de personnes affectées, et causant le décès de plus 92 000 personnes par an. Si le monde scientifique avoue son impuissance à expliquer tous ces phénomènes, la Bible quant à Elle nous l’a déjà prédit bien des années auparavant comme étant des signes annonciateurs du retour de Jésus… « Il y aura de terribles tremblements de terre et dans différentes régions, des famines et des épidémies ; il y aura aussi des phénomènes effrayants et des signes impressionnants venant du ciel. » (Luc 21:11)
26.04.2016
Selon certains chercheurs, la science tend à prouver que notre cerveau reconnaît Dieu comme étant réel.
Des psychologues et des anthropologues attribuent une certaine conception de Dieu à notre sens inné, d’autres partagent la notion d’une capacité à déduire la présence de forces cachées qui travaillent pour le bien ou pour le mal. C’est l’objet d’une table ronde et d’un magazine diffusé par la chaîne National Geographic. Lors de cette émission, Shaheen E. Lakan, titulaire de plusieurs doctorats dont un en médecine, a mis en avant une étude selon laquelle notre cerveau serait programmé pour croire en Dieu. Ces déclarations de Shaheen E. Lakan s’appuient sur les travaux d’Andrew Newberg sur la « Neurothéologie », évaluant ce qui se passe au niveau neurologique lorsqu’une personne prie ou médite. Ses analyses concluent que les gens prient et méditent pour être calmes. La prière et la méditation réduisent l’anxiété, la dépression et la tension artérielle. Elles changent la physiologie de la personne avec des effets durables dans le temps. Après huit semaines à prier douze minutes par jour, les patients voyaient une amélioration de 10 à 15 % de leur état. « Alors, vous pouvez imaginer ce qui se passe pour des personnes très spirituelles qui prient des heures par jour », déclare le Dr Newberg. Dans un article publié dans le Washington Post, une athée, Elizabeth King, écrit elle-même qu’elle ne peut se débarrasser de l’idée que Dieu existe : « Cette idée me harcèle et me fait comprendre que je ne suis pas autant attachée à mes croyances que je le voudrais. Inconsciemment, j’ai peur d’aller en enfer et j’ai envie d’aller au Ciel si je meurs. C’est frustrant de sentir la présence d’une chose en laquelle on ne veut pas croire ». Ceux qui rejettent férocement la foi ne peuvent toutefois pas renier la présence de Dieu.
02.03.2016
À la suite de fouilles archéologiques dans la vieille ville de Jérusalem menées depuis six ans par l’Institut d'Archéologie de l’Université Hébraïque, ce dernier a annoncé qu’un sceau ayant appartenu au Roi Ézéchias avait été découvert au pied du Mont du Temple, dans un dépotoir de l’époque proche d’un palais royal.
Cette pièce inestimable, qui aurait originellement été utilisée pour sceller un rouleau de papyrus, porte en effet une inscription hébraïque signifiant « Appartenant à Ézéchias, fils d’Achaz, roi de Juda ». Eilat Mazar, un archéologue ayant participé aux fouilles, a déclaré que le rond d’argile, d’une dizaine de millimètres de diamètre, portait l’impression des fibres de papyrus sur le revers, ce qui suggère que le sceau fermait un document signé par le roi lui-même : « Cet objet a très probablement été tenu par le Roi Ézéchias », déclare-t-il. Celui-ci, roi de Juda de 716 à 687 avant Jésus-Christ, avait notamment fait fortifier la ville de Jérusalem et l’avait approvisionnée en eau potable grâce à un canal découvert au XIXe siècle. Dans la Bible, nous pouvons notamment lire à son sujet : « Il mit sa confiance dans le Dieu d’Israël, et il n’eut pas son semblable parmi tous les rois de Juda qui vinrent après lui ou qui le précédèrent. » (2 Rois 18:5)
10.12.2015
Les morts imminentes ne sont pas toujours considérées comme possibles par certains médecins, tandis que pour d’autres, c’est un fait qui n’a plus besoin d’être prouvé.
Selon la chaîne History Channel, les scientifiques ont rassemblé plus de soixante-dix cas de personnes qui ont pu raconter leur expérience pendant le laps de temps durant lequel elles étaient cliniquement mortes. L'un des cas cités dans l'étude était celui d’un patient cliniquement mort pendant vingt minutes, après une chirurgie cardiaque à haut risque et, de façon inattendue, celui-ci revint à la vie. Selon les scientifiques, après sa résurrection, le patient a raconté très précisément ce qui s’était passé durant l’opération. Après l’analyse de dizaines de cas semblables, les scientifiques en sont venus à la conclusion que ces patients sont tout à fait conscients pendant leur mort clinique de tout ce qui les entoure, racontant précisément des scènes qui se sont déroulées durant cet instant.
17.03.2015
C’est un vaste débat peu médiatisé qu’est celui de l’origine de la création ! D’un côté, les partisans de l’évolution, de l’autre ceux du créationnisme. Pour certains, foi et sciences ne sont pas compatibles. Pourtant, les plus grands scientifiques étaient des croyants convaincus !
Dans la quête de la vérité, il est important d’informer chaque individu des dernières découvertes… Toutefois, sans ambiguïté aucune, ce n’est actuellement pas le cas ! Selon le Dr Hans-Joachim Zillmer, l’Éducation nationale est piégée par les récentes recherches et preuves scientifiques. Néanmoins, elle maintient à tout prix la théorie de l'évolution. Dans son livre, Le mensonge de l'Évolution, le Dr Zillmer montre que les scientifiques : - ont ouvertement triché au cours de ces cinquante dernières années pour maintenir le public dans l'ignorance quant aux nouvelles découvertes archéologiques allant contre la thèse de l'évolution ; - n'ont pas hésité à fabriquer de fausses preuves darwiniennes (au point que certains ont même été traduits en justice comme faussaires) ; - se servent de procédés bien peu scientifiques dès qu'il s'agit de garantir, par tous les moyens, la véracité de la thèse darwinienne qui s'étiole pourtant chaque jour.
06.02.2015
« Mélanger simplement des lettres n’a jamais créé de la poésie ! », affirme le professeur Gyertich
« La théorie sur l’évolution est fausse », affirme le très célèbre professeur Gyertich, spécialiste de la génétique des populations. « Jamais dans le passé il n’a existé des organismes simples. La théorie de l’évolution n’a aucun fondement, pourtant elle est toujours présente dans les manuels scolaires. » Cette théorie devrait être présentée sans parti pris dans les écoles, puisqu’elle n’a jamais été prouvée comme étant une loi scientifique. Il s’agit d’une théorie requérant confirmation, ayant à la fois des partisans et des opposants. « L’évolution n’est pas une science, mais une philosophie », dit-il. « La théorie de l’évolution n’est qu’une opinion de certains théoriciens ou philosophes. » Le professeur Gyertich a organisé une audition au Parlement européen le 11 octobre 2006, afin de se défendre contre toutes les attaques des lobbys scientifiques. Depuis, les médias (TV, radios, blogs sur internet, etc.) ont publié sur lui toutes sortes de faussetés tout en s'abstenant de publier ce qu’il prétendait être des faits irréfutables.
06.02.2015
Une question très intéressante fut posée aux étudiants en chimie de l'Université d'Arizona. La réponse donnée par l'un de ces étudiants mérite notre attention. Elle fut si « profonde », que le professeur la partagea avec ses collègues, et sur internet.
La question était la suivante : « L'enfer est-il exothermique (évacue de la chaleur) ou endothermique (absorbe la chaleur) ? » La plupart des étudiants ont répondu en se basant sur la loi de Boyle (lorsqu'un gaz se réchauffe, il se dilate, et lorsqu'il se dilate, il refroidit et inversement) ou ses variantes. Cependant, un étudiant a répondu ainsi : « Tout d'abord, nous devons comprendre la manière dont évolue la masse de l'enfer avec le temps. Nous devons donc déterminer la proportion de personnes entrant et la proportion de personnes sortant de l'enfer. Je pense que nous pouvons affirmer sans aucun doute que dès lors qu'une âme entre en enfer, elle n'en ressortira pas. Nous pouvons donc en conclure qu'aucune âme ne sort. Pour déterminer maintenant le nombre de personnes entrant en enfer, considérons le taux de natalité et celui de mortalité. Nous pouvons nous attendre à ce que le nombre de personnes entrant en enfer croisse exponentiellement. Maintenant, attachons-nous à l'évolution du volume de l'enfer : selon la loi de Boyle, pour que la pression et la température de l'enfer n'évoluent pas, le volume global de l'enfer doit augmenter en fonction du nombre d'âmes entrant. Cela nous conduit à deux hypothèses : - si le volume de l'enfer augmente à une vitesse moindre par rapport au nombre d'âmes entrant en enfer, la température et la pression de l'enfer vont augmenter jusqu'à ce que l'enfer explose. - si le volume de l'enfer augmente à une vitesse supérieure à la vitesse d'entrée des âmes, alors la température et la pression vont diminuer jusqu'à ce que l'enfer gèle. Laquelle choisir ? Laissons le Ciel être la preuve de l'existence de Dieu.» Cet étudiant est le seul à avoir reçu un A+ pour sa réponse. 
31.10.2014