Beaucoup de médecins et missionnaires chrétiens volent au secours de la population de l’Afrique de L’Ouest pour lutter contre le virus Ebola qui sévit actuellement et touche des centaines de personnes.
Deux organisations chrétiennes au cœur de l’action Samaritan’s Purse et SIM (Serving In Mission) avaient lancé un appel à la prière en faveur du Docteur Kent Brantly, âgé de 33 ans, et Nancy Writebol, une infirmière de 59 ans, qui venaient tous deux de contracter le virus alors qu’ils aidaient d’autres personnes malades au Libéria. Suite à cette infection, les deux missionnaires avaient dû être rapatriés de toute urgence à l’hôpital universitaire Emory, près d’Atlanta en Géorgie. Après près de trois semaines de soins intensifs, Kent et Nancy sont de retour auprès de leur famille. « Après une série de traitements rigoureux et d’analyses, l’équipe de médecins a estimé que les deux patients avaient été guéris d’Ebola et pouvaient retourner dans leur famille sans craindre de transmettre l’infection aux autres, » a déclaré le Dr. Ribner. « Le personnel médical, ici à Emory, est convaincu que la sortie de l'hôpital de ces deux patients ne pose pas de menace pour la santé publique » a-t-il poursuivi. S'exprimant lors d'une conférence après sa sortie mercredi, Kent Brantly a qualifié la journée de « miraculeuse ». « Je suis très heureux d'être en vie, d'être bien, et à nouveau réuni avec ma famille. En tant que médecin missionnaire, je ne me suis jamais imaginé pouvoir être dans cette situation » a déclaré Brantly. Les deux missionnaires Brantly et Writebol disent qu'ils sont reconnaissants pour toutes les prières qui ont été faites pour eux. « Je ne pourrai jamais assez vous remercier pour vos prières et votre soutien, a déclaré Brantly. Mais ce que je peux vous dire, c'est que je sers un Dieu fidèle qui répond aux prières. »
02.09.2014

Un cœur joyeux est un bon remède. Cette vérité biblique vient encore d’être confirmée par une récente étude scientifique. Il faut rire davantage !
Le rire est bon pour la santé, et les médecins ne cessent de le rappeler en le prescrivant à leurs patients. En effet, à hauteur de cinq minutes par jour minimum, le rire peut améliorer notre état de santé. Selon le magazine Okapi à la base de cette étude, le rire est en voie de disparition, car les gens rient et se réjouissent de moins en moins. En effet, nous rions dix fois moins longtemps qu’il y a quinze ans, et en vieillissant le phénomène ne s’arrange pas du tout à raison de dix minutes par jour pour les ados et de seulement une minute par jour pour les adultes. Cette étude profite pour rappeler que les raisons de rire ne manquent pas lorsqu’on y prête attention, et qu’une personne aurait en effet au moins cinquante raisons de rire. Donc, plus aucune excuse de s’en priver, car le rire procure une véritable gymnastique aux muscles du visage et du thorax, oxygénant au passage tout le corps. Le rire permet également de réduire le cholestérol. Alors, c’est l’heure de ranger notre boîte de médicaments dans le placard et de rechercher de bonnes raisons de rire et de se réjouir !
08.02.2017
Bien que la mainmise des lobbies pharmaceutiques sur le domaine de la santé soit déjà connue du grand public, sauf de ceux qui s’obstinent à garder les yeux fermés, les récentes déclarations du Prix Nobel de médecine, Richard J. Roberts, font l’effet d’une bombe.
En effet, ce dernier accuse les grands laboratoires de faire passer leurs intérêts financiers avant celui des patients. Interviewé par le magazine « Pijama Surf », le docteur Roberts déclare que beaucoup de traitements qui seraient efficaces ne sont pas développés, car la guérison n’est pas rentable pour certains groupes opaques. En revanche, ce sont des médicaments et des traitements rendant les maladies chroniques et devant être pris constamment qui sont développés. Selon le Prix Nobel de médecine de 1993, les principes qui régissent le domaine de la santé de nos jours s’apparentent aux valeurs de la Mafia : « J’ai vu comment des chercheurs qui dépendaient de fonds privés auraient pu découvrir des médicaments capables d’éradiquer rapidement des maladies, mais qui se sont tournés subitement vers la découverte de médicaments qui ne guérissent pas », a-t-il expliqué.
11.01.2017
Les bénéfices d’une vie de foi et d’une marche avec Dieu ne sont plus à prouver tant la quantité de vies changées est innombrable.
Par ailleurs, une autre étude vient mettre en exergue un autre effet positif de la vie chrétienne. En effet, cette étude réalisée entre 1996 et 2010 sur près de 90 000 femmes révèle que celles qui fréquentent une église au moins une fois par semaine ont cinq fois moins de risques de se suicider. Les résultats publiés dans le magazine Jama Psychiatry revêtent une importance particulière car entre 1999 et 2014, le taux de suicide chez les femmes était en augmentation de 24 %, les jeunes filles âgées de dix à quatorze ans étant les plus touchées par ce phénomène. Les femmes qui fréquentent une église régulièrement auraient aussi beaucoup plus de chances de se marier et d’avoir un mariage heureux du fait de l’effet positif que leur procure leur investissement dans ces activités. Enfin, cette étude révèle également que la pratique d’activité religieuse serait un bon remède contre la dépression et la consommation de tabac. En 2012, une autre étude publiée dans le Journal Of Psychiatry avait déjà mis en évidence qu’un enfant éduqué dans la foi par sa mère avait moins de risques de sombrer dans la dépression.
06.10.2016
Alors que les dirigeants du gouvernement cherchent encore des façons de changer le système de soins dans le domaine de la santé de leur pays, un ministère chrétien à Nashville décide de passer à l’action.
Dans la clinique de Siloé, vous pouvez être pris en charge gratuitement. L’an dernier, dix-huit mille personnes, dont 79 % d’entre elles étaient des immigrées sans ressources, ont pu être soignées au sein de ce complexe de douze mille mètres carrés. Trois médecins à temps plein, quatre-vingt quatre médecins bénévoles, cent infirmières, quatre pasteurs et cinq cents autres bénévoles dans diverses fonctions travaillent au service de la population. Le but est de partager l'amour de Christ en servant ceux qui sont dans le besoin, grâce à des soins de santé. L'idée de la clinique est venue un dimanche de 1989 tandis que le Dr. David Gregory participait au culte à l'église de Belmont à Nashville. « Sa compassion pour les pauvres était sa plus grande force motrice », a déclaré Nancy Ouest, l'actuelle présidente de Siloé. « Dr. Gregory a reconnu que les besoins vont au-delà du simple corps physique. Aussi a-t-il voulu une clinique qui non seulement soit compétente dans le domaine de la santé, mais également dans le domaine de l’écoute des besoins émotionnels. Nous demandons aux patients de payer les soins qu’ils reçoivent, mais s’ils n’ont pas d’argent, ils ne sont pas rejetés. » La clinique est entièrement financée par des dons de particuliers, d'entreprises et par les paiements des patients, lorsque cela est possible. Les médecins sont tous engagés et remplis de l’amour de Dieu. Ils servent leur prochain avec foi. Les résultats sont spectaculaires. Des personnes de toutes confessions affluent dans la clinique avec pour seul espoir d’être soignées et comprises.
17.05.2016
Le docteur Hardin B. Jones, professeur de physique médicale et de physiologie à l’université de Berkley, a étudié la chimiothérapie et ses effets sur les patients pendant près de vingt-cinq ans, et les conclusions de ses études sont consternantes !
Selon Hardin B. Jones, et contrairement à la propagande des lobbies pharmaceutiques de concert avec les gouvernements qui en tirent un large profit, les malades atteints du cancer ne meurent pas de la pathologie en elle-même, mais bel et bien du traitement. En effet, selon ses analyses, les médicaments prescrits dans le cadre du traitement finissent par abréger la vie des patients plutôt que de les soulager. Durant les vingt-cinq années de son étude, les personnes ayant refusé le traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi de plus que celles qui l’ont accepté. Parmi elles, beaucoup mourraient dans les trois années qui suivirent le début de la chimiothérapie, et d’autres au bout de quelques semaines seulement. De plus, les patientes atteintes d’un cancer du sein ayant rejeté le traitement vivent quatre fois plus longtemps que celles qui le commencent. Alors que des études avaient été menées en 1978, 1979 et 1980, prouvant que les médicaments utilisés dans le cadre de la chimiothérapie ne font en rien diminuer le taux de cellules cancéreuses et qu’ils n’améliorent pas non plus le taux de survie des patients diagnostiqués, cette vérité méconnue de tous profite bel et bien à une poignée. En effet, le cancer est devenu une véritable industrie et une manne généreuse, car les médecins, les hôpitaux, les groupes pharmaceutiques en retirent un gain considérable chaque fois qu’une personne décide d’entamer un traitement. Ces gains s’élèvent dans beaucoup de cas à des millions de dollars.
07.04.2016
La lumière est utile ! Chaque jour, nous l’attendons, car si le jour ne venait pas à se lever, nos factures d’électricité seraient exorbitantes...
Cependant, la lumière a bien plus de vertus que l’on ne pourrait l’imaginer. En 1984, le psychiatre américain Norman Rosenthal a démontré que la lumière était un médicament contre la dépression. Depuis, des travaux ont prouvé que cette action stimulante sur le moral agissait par l'intermédiaire de la sérotonine, un neurotransmetteur intervenant dans la régulation de l'humeur, du sommeil et de l'appétit. Le recours à la luminothérapie contre la dépression saisonnière a été validé en 2005. Fini les coups de blues de l'hiver ! Fini les symptômes dépressifs liés au syndrome prémenstruel ! La lumière est également le plus puissant des synchronisateurs du rythme biologique. Nos yeux transmettent ce signal vers le cerveau qui commande notamment la sécrétion d'hormones spécifiques La Bible nous rappelle que Jésus est La Lumière du monde : « Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. » (Jean 8:12)
07.04.2016
Il s’agit du constat alarmant que font deux professeurs dans leur récent livre de pédopsychiatrie et de dermato vénéréologie.
Le temps de parole accordé à un patient dans un hôpital est en moyenne de vingt-trois secondes, avant que le spécialiste ne l'interrompe. Un médecin, chef de service, déclare à ce sujet : « Moi, j'ai dix minutes par patient sur le logiciel de rendez-vous, et il n'y a rien à faire, il faut que je remplisse tous les créneaux. Alors, je n'écoute pas, car j'ai trop de choses à expliquer, des papiers à faire signer. Il faut vraiment être psychiatre pour croire que les médecins peuvent écouter ! » Les auteurs expliquent ensuite la source du problème : « On nous a imposé une vision entrepreneuriale de l'hôpital. Les soins et les patients sont des marchandises. Ce qui existe dans les hôpitaux n'est pas de la médecine, c'est la distribution plus ou moins réussie de traitements que nous comptons pour ce qu'ils rapportent à l'hôpital. » Le problème se trouve dans le fait que ces « marchandises » sont nos propres vies...
23.03.2016
Les effets de Facebook sur la santé sont similaires à ceux de la cocaïne.
Alors que les réseaux sociaux sont de plus en plus présents dans le quotidien aujourd’hui, nombreux sont ceux et celles qui ont tenté de s’en défaire, ne serait-ce que pour un temps, afin de faire une pause. Toutefois, le constat reste le même : la tentation de regarder les dernières actualités et les informations postées sur les murs est bel et bien trop forte pour certains. Une étude des chercheurs de l’Université de Californie du Sud, publiée dans la revue américaine Psychological Reports, révèle que l’utilisation intensive de Facebook peut être considérée comme une addiction et comparée à la cocaïne. Vingt étudiants (dix hommes et dix femmes) âgés de dix-huit à vingt-trois ans ont passé un test visant à déterminer leurs réactions face à des signes ou des symboles associés à Facebook. Le résultat est très alarmant : grâce à l’observation du cerveau de ces derniers via une IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) les scientifiques ont constaté que chez les utilisateurs réguliers, les zones d’impulsivité du cerveau qui s’activent dans la toxicomanie et l’addiction, s’activent également au contact des réseaux sociaux. Une sur utilisation de Facebook peut donc aller jusqu’à empêcher les usagers de contrôler leurs impulsions. À la suite de ces résultats inquiétants, les chercheurs préconisent une thérapie cognitivo-comportementale pour pallier les effets destructeurs de Facebook ; thérapie également utilisée pour soigner les addictions aux drogues dures…
09.03.2016