Le 17 juin, il a été le premier Premier ministre depuis Margaret Tatcher à assister au Petit-déjeuner de Prière parlementaire (National Parliamentary Prayer Breakfast), aux côtés du chef de l’opposition Ed Miliband.
David Cameron a à nouveau mentionné le christianisme dans l'introduction de son discours : « Une plus grande confiance dans notre christianisme peut inspirer une conviction plus forte dans notre travail de politicien pour faire la différence dans la vie des gens. Cela devrait inspirer notre soutien aux églises et organisations chrétiennes dans le travail essentiel qu’elles font pour la société et partout dans le monde ». Il a ajouté que quel que soit leur parti politique et quels que soient leurs désaccords sur certains sujets, ce qui les relie en tant que membres du Parlement, ce sont ces valeurs chrétiennes. Dans un article publié le 16 avril dernier dans Church Times, le journal de la communauté anglicane, David Cameron évoquait sa propre foi qui lui a permis de trouver la « paix ». Réagissant aux commentaires qui avaient suivi son discours lors de la réception annuelle de Pâques au 10 Downing Street, le Premier ministre britannique expliquait : « En tant que nation chrétienne, je crois que nous devrions faire preuve de plus de confiance, mais aussi être plus ambitieux en élargissant par exemple le rôle des organisations religieuses, et appréhender la foi de manière plus évangélique pour contribuer à changer la vie des gens. Fondamentalement, les valeurs chrétiennes de la responsabilité, le travail acharné, la charité, la compassion, l’humilité et l’amour sont partagés par des gens de toutes les croyances, et nous devons avoir confiance en nous levant pour les défendre. Les personnes qui, au contraire, préconisent une sorte de neutralité laïque ne parviennent pas à saisir les conséquences de celle-ci ou le rôle que la foi peut jouer pour aider les gens à avoir un code moral. »
23.01.2015

Le lundi 27 février, François Hollande s’est rendu au siège du Grand Orient de France, la plus grande obédience maçonnique. Une première sous la cinquième République.
En effet, M. Hollande est le premier président en exercice à se déplacer jusqu'au siège des francs-maçons. Il assistait à la cérémonie organisée pour fêter les trois cents ans de la franc-maçonnerie moderne. Dans cette visite, le président s'est aussi livré à un vibrant hommage dans lequel il associait très étroitement les liens entre la franc-maçonnerie et la République : « Ma présence constitue une reconnaissance de ce que vous avez apporté à la République », a-t-il déclaré, et de continuer : « La République sait ce qu'elle vous doit, et vous serez toujours là pour la défendre. » Toujours dans ses déclarations, le chef de l’État enfonçait le clou en affirmant qu'« en voulant attaquer la Franc-maçonnerie, c'est la République qui était visée. » Signalons au passage qu’il y a quelques années, François Hollande, alors candidat à l’élection présidentielle, déclarait lors de sa visite chez les francs-maçons : « Si on croit dans la République, à un moment il faut passer par la franc-maçonnerie. » Nous sommes en droit de nous demander quelle est la réelle signification de la laïcité. Le locataire de l’Élysée était-il allé officiellement remercier ceux qui détiennent le pouvoir en France?
03.03.2017
Une « loi-cadeau ». C’est un beau cadeau qu’ont offert jeudi dernier les parlementaires à tout futur délinquant. Désormais, la justice ne pourra pas rattraper un individu accusé de corruption au-delà de douze ans !
Alors que les députés ont fait doubler le délai de prescription pour les délits, passant ainsi de trois à six ans, et de dix à vingt ans pour les crimes, un amendement plafonnant la prescription pour les infractions dites « occultes » ou « dissimulées » a secrètement été voté. Cette nouvelle loi prévoit qu’au-delà de douze ans, une affaire de corruption ou de détournement public sera automatiquement classée « sans-suite ». Certains magistrats ont souligné le fait que ces infractions mettent plusieurs années à être découvertes. Les élus bénéficieront donc d’une double prescription ! « Voilà un beau cadeau octroyé au monde des affaires », ironise un haut magistrat, avant d‘ajouter : « C’est une autoamnistie absolument incroyable dans le contexte actuel. » En effet, il est étonnant de constater que cet amendement intervient alors que l’affaire Fillon fait grand bruit dans les médias. Toutefois, c’est bien connu, en politique, peu importe la couleur, on se protège…
03.03.2017
Le gouvernement roumain a annoncé l’annulation du décret qui assouplissait l’ensemble des lois anticorruption, pensant ainsi pouvoir calmer la colère des centaines de milliers de Roumains descendus dans les rues pour manifester.
Le Premier ministre roumain, Sorin Grindeanu, a déclaré samedi soir : « Demain, nous nous réunissons pour abroger ce décret. » Ce revirement de situation a réjoui les manifestants rassemblés à Bucarest devant le siège du gouvernement parce qu’ils ont assisté à un événement historique. En effet, le gouvernement roumain a enfin plié sous la pression d’un peuple, au nombre de deux cents à trois cent mille personnes, foulant les rues de la capitale roumaine chaque soir depuis mardi pour protester contre ce décret « viol de la démocratie ». Dans une société qui vit la corruption au quotidien, Alexander, un manifestant âgé de trente ans, ressent le décret gouvernemental comme une provocation. Père de famille et fonctionnaire, il perçoit le système comme étant « terrifiant ». Le gouvernement a été critiqué pour avoir voulu mettre à l’abri de la justice le chef du parti social-démocrate, M. Dragnea. Ce dernier a déjà été condamné à deux ans de prison avec un précédent dossier (PSD). Il est actuellement en procès dans une affaire d’emplois fictifs. Nombreux sont ceux parmi les protestataires qui envisagent de poursuivre les rassemblements. Beaucoup demandent également la démission du gouvernement en place depuis un mois. Aura Oprea, une chef d’entreprise commente : « Ce ne sont que des mots ; il faut voir dans la pratique. » Depuis la chute du communisme en Roumanie, un pays qui compte aujourd’hui vingt millions d’habitants, ces manifestations regroupant plusieurs centaines de milliers de participants sont inédites. Raluca, une femme de trente ans, déclare que ce revirement de situation sera une nouveauté pour la Roumanie. Georgiana Gragoi, une femme au foyer, dit : « Il s’agit du futur de nos enfants. Nous voulons que justice soit faite. ». Klaus Iohannis, président de centre droit, en guerre ouverte avec le gouvernement, a quant à lui salué « un pas important vers une normalisation. »
08.02.2017
Les médias sont un puissant outil de manipulation des masses entre les mains des mauvaises personnes. En effet, le 20 janvier dernier, jour de l’investiture du président américain Donald Trump, les médias français publiaient alors un sondage selon lequel 80 % des Européens étaient contre Donald Trump.
Cependant, ce sondage commandé par l’institut Odoxa a été mis à mal par une étude démontrant la supercherie qui se cachait derrière ces chiffres. L’échantillon de la population européenne qui a été ciblé par ce sondage n’est en rien représentatif, car les 3 055 personnes interrogées ont un profil politiquement opposé à celui du président américain. La question se pose alors : avons-nous affaire à un sondage transparent ou à un sondage politiquement construit et instrumentalisé ? Toujours est-il qu’une bonne partie de l’Europe a démontré une unité d’idées avec Donald Trump, à l’instar des Britanniques qui ont massivement voté pour le Brexit, à l’image également des vagues opposées à la politique laxiste en matière d’immigration qui se lèvent un peu partout en Allemagne, en Italie, en Grèce et même en France. Lors d’une interview donnée aux quotidiens britannique et allemand, The Times et Bild, Donald Trump a mis à mal les fondements de l’Europe qui sont en train de s’écrouler sous nos yeux. Du Brexit à l’inefficacité de l’OTAN, en passant par la crise migratoire favorisée par la politique d’Angela Merkel, le président élu a déclaré que beaucoup d’autres pays quitteront l’UE prochainement.  Cependant, même si beaucoup de médias s’efforcent de détruire l’image du dirigeant américain, un autre sondage publié par le journal RT révèle que 80 % des Européens sont d’accord avec Donald Trump et que ce chiffre serait sensiblement le même en France.  Par conséquent, même s’il tire à boulets rouges sur la politique européenne, ses paroles semblent trouver un écho auprès de la population du vieux continent.
31.01.2017
La ville s’élève par la bénédiction des hommes droits... Donald Trump l’a bien compris en nommant neuf chrétiens nés de nouveau dans son gouvernement !
« Depuis des années, nous prions que Dieu suscite des hommes et des femmes de Dieu à des positions de leadership et d’influence dans notre pays. […] Qui aurait cru que Donald Trump serait la réponse à cette prière ? » indique le Pasteur David Murray. Parmi ces personnes, le vice-président Mike Pence qui a déclaré : « Ma foi chrétienne est au cœur même de qui je suis », ainsi que le chef de cabinet Reince Preibus qui partage sa foi et l’œuvre de Christ sur les réseaux sociaux. Toutefois, ainsi que le disait Jacques, ces personnes ne parlent pas seulement de leur foi ; elles la démontrent par leurs œuvres. Ainsi, la secrétaire à l’éducation, Betsy DeVos, s’est engagée à faire avancer le Royaume de Dieu grâce aux écoles américaines. Quant à Sonny Perdue, le dernier arrivé, nommé secrétaire à l’Agriculture, le jour où la Géorgie, l’État dont il était le gouverneur, a connu la pire sécheresse de son histoire, il a lancé un appel à la prière, et Dieu a envoyé la pluie. À cette liste se rajoutent des personnes n'ayant pas honte de leur foi comme : Nikki Haley, ambassadrice de D. Trump auprès des Nations unies ; Michael Flynn, conseiller en sécurité nationale ; Ben Carson, ministre du Logement ; Tom Price, ministre de la Santé ; Mike Pompeo, directeur de la CIA ; Jeff Sessions, procureur général et Steve Bannon, conseiller spécial du président. Ainsi, parmi les seize membres du nouveau gouvernement, plus de la majorité fera en sorte que le pays revienne sur les voies de Dieu.
25.01.2017
2017 commence dans la confusion. En effet, soixante-dix (!) nations, sans la présence d’un seul représentant israélien, ont été invitées à Paris, le 15 janvier prochain, pour résoudre le conflit palestino-israélien, projet qui prévoit de diviser Jérusalem (Joël 3:2).
Notre gouvernement français est en train de céder à la pression des leaders musulmans pour que la présence juive soit éradiquée de la Terre Sainte ! Déjà en octobre dernier, l'organisation des Nations « Unies » avait décidé que les principaux sites juifs de Jérusalem étaient musulmans… Ceci est historiquement incorrect ! L’ONU insulte les Chrétiens et les Juifs ! Prochaine date : la conférence pour la « paix » le 15 janvier. Tout ceci pour vous inviter à prier. En tant que Corps du Christ, nous avons le devoir et la puissance nécessaire pour bénir le peuple juif. Nous devons nous tenir à ses côtés. En tant qu’Européens, nous pouvons laisser les nations décider du sort d’Israël (ce qui a conduit à la tragédie de la Shoah et qui est contraire aux Accords d'Oslo) ou prendre position - ce que nous devons faire, au moins dans l’Esprit.
12.01.2017
Alors que beaucoup de questions se posent après le silence d’Hillary Clinton à la suite de sa défaite aux élections présidentielles, en coulisse, des événements tenus secrets montrent que Mme Clinton n’est peut-être pas aussi fair-play qu’elle le prétend.
Avant même l’issue finale des votes, les partisans de Mme Clinton s’étaient réunis mardi soir, s’attendant à une apparition de leur candidate. La désillusion fut immense lorsque John Podesta, directeur de campagne de Mme Clinton, leur demanda de « rentrer chez eux ». En réalité, l’ancienne secrétaire d’État se serait emportée dans une rage folle après avoir appris sa défaite face à M. Trump. Une source confidentielle rapporte que « mardi soir, Mme Clinton s’est mise à hurler des obscénités et à cogner dans les meubles. Elle a jeté des objets sur son équipe de campagne », avant de préciser : « Elle était dans une rage incontrôlable. » Informé de l’incident, un journaliste de la chaîne CNN affirme qu’on lui a interdit de divulguer l’information. Un médecin a aidé Hillary Clinton à se contenir, lorsqu’elle a violemment attaqué Robby Mook et John Podesta, son directeur de campagne, se voyant contraint de lui administrer des sédatifs. Visiblement, dans le clan Clinton, tout ne semble pas aussi rose que ce que l’on a bien voulu nous montrer…
25.11.2016
Contre tous les pronostics, l’élection américaine de Donald Trump à la présidence des USA prouve qu'il est possible de contrarier le poids écrasant du « système aspirateur ».
C’est un désaveu cinglant de ce qu’il est convenu d’appeler la Pensée unique ; la force même de l’establishment occidental ou du groupe minoritaire qui profite des largesses du pouvoir. Le monde des politiques, médias, presse subventionnée, culture officielle, les artistes, acteurs, célébrités de tout genre, administrations, institutions, Bourse, Wall Street, finance, lobbies, etc., s’étaient tous rangés naturellement du côté de leur candidate, la démocrate Hillary Clinton, contrairement à M. Trump qui n’a aucun parcours politique. En effet, il n’a jamais occupé une fonction politique. Tout le système de l’establishment était contre lui, à commencer par son propre camp ou une grande majorité des ténors avaient décliné un vote en sa faveur. Bill Clinton, conjoint et ancien président et l’actuel couple présidentiel Obama n’ont pas cessé de faire campagne jusqu’au dernier jour pour soutenir leur candidate. Tout au long des jours qui précédèrent le vote, presque tous les grands médias et organes de presse et sondage donnaient une nette victoire de la candidate démocrate. À la veille du scrutin, le New York Times estimait qu’Hillary Clinton avait 84 % de chances de l'emporter. L'agence Reuters surenchérissait à 90 %. Le site d'analyse politique FiveThirtyEigh évaluait quant à lui à 71 % la probabilité qu'Hillary Clinton devienne la première femme présidente des États-Unis. Toutefois, le peuple en a décidé autrement, et les résultats ont même déclenché la colère et la révolte de certains présentateurs TV. « Les sondeurs ont raconté n'importe quoi (...) Leurs prédictions ne valent même pas le prix du papier sur lequel elles sont imprimées », déclarait Megan Kelly, présentatrice vedette de Fox. « Je ne vois pas un seul sondage qui ait prédit que D. Trump allait passer ce type de nuit », s'est désolé Jake Tapper, le présentateur de CNN. Effectivement, contre toute attente, après le Brexit, c’est un nouveau séisme politique qui a eu lieu, le peuple ayant clairement rejeté la dictature de l’establishment. C’est un grand signal pour l’Europe où l’establishment exerce encore son emprise…
09.11.2016