Les entrepreneurs chrétiens ont des convictions. Norm Miller ne vous dira pas le contraire ! Il vient d’être reconnu pour « son leadership chrétien à Interstate Batteries. »
Fondateur de l’entreprise de batteries devenue la Numéro 1 en Amérique du Nord, il reconnaît depuis toujours avoir eu des valeurs et des convictions fortes. Derrière sa volonté de toujours satisfaire le client à tout prix, il y a un cœur de serviteur. D’ailleurs, chacun des employés à Interstate Batteries doit vouloir servir son client avec joie, intégrité et amour. En 2013, et depuis 5 années consécutives, l’entreprise fait partie du Top 100 des meilleures entreprises américaines où il fait bon travailler. Norm Miller déclare à ce sujet que : « glorifier Dieu en fournissant à ses clients, dans le monde entier, des batteries de qualité supérieure à un prix intéressant est sa mission première. »
03.06.2015

Invités à se prononcer sur le choix de vivre de l’assistanat en profitant des aides de l'État ou privilégier la valeur travail, les Suisses n’ont pas hésité à manifester leur préférence.
Ce dimanche, ils ont massivement dit « non » à la création d'un « revenu de base inconditionnel » (RBI) pour tous, salariés ou sans emploi. Les résultats parlent d’eux-mêmes. Ce sont près de huit personnes sur dix, soit selon les résultats définitifs 76,9 % qui ont dit « non » à ce projet. Il proposait de verser chaque mois à tous les Suisses ainsi qu’aux étrangers vivant dans le pays depuis au moins cinq ans, une somme de 2 500 francs suisses (2 260 euros) par adulte, qu'il ait ou non déjà un emploi, et 650 francs suisses pour chaque mineur.  Pour rappel, en 2012 déjà, face à la baisse de leur compétitivité au niveau international, les Suisses avaient refusé d’augmenter de deux semaines la durée de leurs congés payés. Contrairement à certains en France qui veulent toujours plus d'assistanat, les Suisses ont démontré leur attachement à la valeur travail. Le rejet de ce revenu sans condition par la population suisse semble s’apparenter à ce verset des écritures qui déclare que « si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus « (2 Thessaloniciens 3:10). Voilà encore une preuve que dans certains endroits le niveau des mentalités et des consciences est différent de celui qui règne dans nos parages...   
08.06.2016
Après avoir travaillé d’arrache-pied, Fabiano Castro remporte la bataille du chômage et devient responsable de quinze franchises d’une école de langues. Né dans une famille de classe moyenne au Brésil et âgé de vingt et un ans, il n’a pas d’autre choix que d’aider sa mère et son frère à subvenir aux besoins de la famille.
Le salaire de son premier emploi n’étant pas suffisant, la famille devait échanger des bons pour acheter de la viande et faire des courses. Néanmoins, à force de travail, il n’a fallu que quatre mois à Fabiano pour devenir gérant de l’entreprise. Fabiano raconte que c’est son « besoin » qui a été le déclencheur de sa promotion. Cette victoire, il la doit à la nécessité de manger chaque jour. « Je n’avais qu’une seule alternative, travailler, sinon nous serions morts de faim à la maison », dit-il. Fort de son succès, et après huit mois de bons et loyaux services, Fabiano Castro est invité à rejoindre la capitale de l'État pour prendre davantage de responsabilités au sein de l’entreprise, aux côtés du directeur général. Toutefois, non content de ce succès, il décide d’ouvrir lui-même une entreprise, et sa décision se porte sur une école de langues. « J'ai vendu mon appartement, la voiture, et je me suis débarrassé de tout, afin de rejoindre une ville dans le nord du Brésil où j'ai ouvert ma première école « Minds Idiomas », raconte-t-il. « Le nord du pays était en retard en ce qui concerne la formation. Aussi, ai-je vu une grande opportunité. Aujourd'hui, je sais que j'avais raison, puisque mes idées sont devenues des résultats. » Cependant, ce n’est pas sans sacrifices et souffrances que Fabiano détient aujourd’hui 30 % des parts des quinze franchises créées, ainsi que dix agences de marketing dans tout le pays. S’il a pu bâtir un tel empire, c’est grâce à sa foi en Dieu. « Mon idéal a toujours été d'aider les gens, en créant des emplois et en voulant les insérer dans le marché du travail. Nos cours gratuits sont pour les jeunes de dix-sept et dix-huit ans à la recherche d'une porte ouverte. Je pense que motiver les gens et leur offrir des opportunités est la meilleure façon de grandir. » Impliqué dans les œuvres sociales et religieuses, Fabiano Castro vient de financer la construction d’une église, ce qui est également une forme de remerciement pour tout ce qu'il a obtenu.
17.05.2016
La Haute école de gestion de Fribourg a récemment organisé une conférence portant sur les liens entre le monde des affaires et les valeurs chrétiennes, à laquelle cent soixante chefs d’entreprise ont participé.
Ainsi, par exemple, Bernard Russi, P.-D.G. d’un groupe hôtelier comptant douze hôtels haut de gamme, dix-neuf restaurants, des établissements thermaux et pas moins de mille cinq cents collaborateurs, a évoqué sa manière de vivre sa foi dans son travail, en appliquant notamment trois valeurs au quotidien : franchise, honnêteté et intégrité. « On ne dit pas spontanément aux gens que l’on est chrétien, mais on applique le mieux possible les principes bibliques. » Les salaires doivent être justes, les conditions de travail respectueuses… Pas question de travail au noir ou de dessous-de-table. Un directeur ne doit pas jouer de sa position pour séduire des employées ; il n’y a pas à tergiverser. Si l’on respecte les employés, c’est rare que l’on soit déçu », ajoutant par ailleurs que le respect du client, quel qu’il soit, n’est pas négociable. Un autre chef d’entreprise, Monika von Sury, à la tête d’une entreprise d’interprétariat, déclare : « À la tête de ma société, il y a Jésus-Christ, le meilleur P.-D.G. que l’on puisse avoir. Ma conduite des affaires s’inspire des principes bibliques. Avant tout, je suis chrétienne ; entrepreneur, pourquoi pas ? » Elle indique également que, certes, en suivant les exigences bibliques, un patron peut perdre des contrats, mais que « le management honnête est payant, car il crée des liens de confiance qui permettent d’asseoir la prospérité de l’entreprise à long terme. »
11.05.2016
Une étude a conclu que « la pratique religieuse est une partie active de la vie pour des millions de personnes, et elle apparaît comme ayant des incidences sur les autres domaines de la vie ». Les chrétiens qui fréquentent l'église sont plus heureux dans leur emploi.
Le niveau de conscience d’un fidèle et son degré d’implication au sein de sa congrégation vont influencer les comportements de celui-ci dans son milieu professionnel.
 Cette incidence variera en fonction du niveau d’engagement du croyant dans son assemblée, selon une étude réalisée par des sociologues de l'Université Baylor. Il s'est avéré que l’implication religieuse de ces personnes faisait la différence dans leur attitude au travail. Autrement dit, elle génère de la compétence pour les employés eux-mêmes qui veulent s’améliorer de jour en jour, et pour l’employeur, elle crée une plus-value. L'analyse des chercheurs a été fondée sur l'Enquête nationale sur le travail, l'esprit d'entreprenariat et la religion, un sondage Web en 2010 effectué sur 1 022 travailleurs à temps plein. Leurs conclusions sont concentrées sur trois facteurs : 

 • La satisfaction : en effet, il est remarqué que les travailleurs à temps plein témoignent d’une meilleure satisfaction de leur travail lorsqu’ils fréquentent régulièrement une église qui met l'accent sur l'intégration de leur foi au travail.

 • L’investissement : les travailleurs à temps plein font preuve d’un plus grand investissement dans leur tâche sur leur lieu de travail lorsqu’ils fréquentent régulièrement une assemblée qui met l'accent sur l'intégration de leur foi au travail

 • L’esprit d’initiative : les gens qui sont activement impliqués au sein de leur assemblée qui favorise l'intégration de la foi au travail, ont un plus fort esprit d’initiative.
 D’après les chercheurs, le mot-clé est « dévouement (ferveur ou passion) », car ce qui semblait vraiment faire la différence était la fréquence de leur présence dans une église. Ceci semble souligner une relation non négligeable entre la foi et le travail. L’influence de l’église sur la satisfaction professionnelle, l'engagement dans son emploi et de l'entreprenariat, a été mesurée par des chercheurs à l'aide d’une échelle comprenant des éléments (précis) comme la perception de la présence de Dieu pendant le travail, la considération du travail comme ayant une signification éternelle, la considération des collègues comme étant faits à l'image de Dieu, la croyance du devoir de démontrer de « l'amour sacrificiel » envers ses collègues, le fait d’être conscient que Dieu veut qu'ils développent leurs capacités et leurs talents au travail. 


20.04.2016
Elle se nomme Rosy Busch, l'adolescente qui, en l'espace de sept jours, a réussi à réaliser l'exploit d'être diplômée de l'Université et de réussir son cursus de lycéenne en seulement quelques jours d'intervalle.
Rosy est l'adolescente de seize ans qui a obtenu au même moment un bachelor de justice pénale et la validation de son cursus de lycéenne. Ceci grâce à son travail intense qui lui a permis d'avoir une intelligence assez développée, et également grâce au fonctionnement particulier de son établissement. En effet, le double programme de la Florida Atlantic University autorise les meilleurs élèves de son lycée l’Atlantic High School à suivre ces cours, leur permettant ainsi d’accumuler des crédits de manière anticipée. C’est ce qui a poussé les parents de Rosy, Gisla et Bobby Bush, à orienter leur fille vers cet établissement, compte tenu de son potentiel. Gisla Bush sa maman déclare à CBS : « Je savais qu’elle avait quelque chose de particulier, elle a toujours été en avance. Rosy a commencé à lire à l’âge de deux ans, et elle a toujours fait aussi bien que ses sœurs qui ont pourtant 3 ans de plus. » Précisons que l'adolescente, bien que très jeune, est déjà dotée d'un esprit de sacrifice hors norme ; une valeur indispensable pour tout succès. La jeune fille se lève chaque matin à 5 heures 30 et jongle entre ses cours. Elle trouve le temps de jouer de la flûte traversière au sein de deux orchestres, le Miami Music Project Orchestra et la Youth South Florida Symphony. À 22 heures, elle rentre et se « remet au travail pour encore trois ou quatre heures », explique-t-elle. Avec seulement cinq ou six heures de sommeil par nuit, elle reconnaît que c'est parfois difficile : « Je suis excitée, mais parfois j’ai l’impression que tout va trop vite, que tout arrive trop tôt. Je n’ai pas eu l’occasion d’être une enfant, de faire des bêtises, de perdre mon temps à me faire plaisir. » Évidemment ! Les résultats de ces années de sacrifices sont au rendez-vous. Elle a obtenu son diplôme universitaire en seulement trois ans, contre quatre ans normalement, « grâce à des cours que l’université m’a donnés tous les étés depuis l’âge de treize ans », déclare Grace Bush. Concernant son avenir, elle a précisé avec beaucoup de sérieux : « J’aimerais devenir présidente de la Cour suprême. » Son père, quant à lui, ne doute pas qu’elle puisse y arriver. Pour y parvenir, la jeune fille annonce déjà son programme pendant les vacances : « Pendant les vacances, je travaillerai sur le LSAT (Law School Admission Test), afin d’avoir le meilleur score possible et d’intégrer une grande école. »
09.03.2016
Il y a des idées qui ont la capacité de bouleverser des vies, mais également d’aider à améliorer le quotidien des uns et des autres.
C’est ce qui est arrivé à John D’Eri, cofondateur de la société de lavage de voitures Rising Tide Car Wash, lorsqu’il lavait sa voiture personnelle avec son fils autiste. L’homme d’affaires s’est alors rendu compte que les personnes autistes avaient du mal à se développer aussi vite dans le milieu scolaire que les personnes normales. C’est ainsi que la plupart de ces personnes chutent et sont mises en marge du système scolaire. Toutefois, en donnant des tâches très pratiques à son fils Andrew, John remarqua que ce dernier était capable de fournir un service de bonne qualité dans sa société de lavage de voitures. Il eut alors l’idée d’ouvrir son entreprise aux personnes autistes : « Ma mission est d’inspirer les communautés à changer de perception vis-à-vis des personnes atteintes d’autisme, car elles sont capables de fournir une expérience et un travail haut de gamme dans le lavage de voitures. » John D’Eri forme les personnes autistes et espère leur donner une opportunité qu’elles reçoivent rarement, celle de construire une vie et une carrière indépendante.
22.09.2015
En France, le contribuable travaille désormais sept mois de l’année pour remplir les coffres de l’État. Ce sont sept mois durant lesquels il ne bénéficie pas du fruit du travail de ses mains.
Une récente étude de l’analyste Jean-Yves Archer sur la stratégie fiscale du gouvernement révèle que dorénavant les actifs français devront travailler encore un jour de plus cette année pour l’État, et cela en raison des continuelles hausses de prélèvements. Ces hausses lui ont rapporté plus de soixante-dix milliards ces trois dernières années. Le 1,2 % de croissance promis par le président lors de sa campagne n’est qu’une lointaine promesse et n’est plus envisageable. Selon cette étude, les quelque trois cent neuf taxes dont sont « victimes » les Français ont augmenté de 4,5 % par an depuis 2011. De plus, alors que la masse salariale a décru de 2 %, les organismes financés par les taxes ont quant à eux augmenté de 10,4 %. Cette analyse révèle donc que les taxes prélevées au contribuable servent à assurer le fonctionnement matériel du foisonnement d'agences et d’organismes publics (économies d'énergies, Centre national du cinéma, les Voies navigables de France, etc.) Le poids de ces taxes affectées était de 112 milliards d'euros en 2011 et est estimé à un peu plus de 120 milliards pour l'année 2015. Dans cette période de crise budgétaire, alors que le FMI prévoit une croissance à la baisse en 2015, et alors qu’un effort considérable sera demandé pour lever des fonds d’aide à la Grèce, le portefeuille des ménages et du contribuable français risque encore de crouler sous le poids de plus en plus lourd des taxes et autres prélèvements de l’État.
29.07.2015
Timothy Jokkene est la preuve irréfutable que même dans le climat économique le plus hostile, il y a toujours une raison d’espérer. 
Dans un climat économique où 80% de la population est au chômage, Timothy est allé contre le courant en créant des start-up et des emplois, fournissant des bœufs et des charrues pour les plus démunis de son pays, et s’occupe de centaines d’orphelins. Même si la route pour financer les pauvres est loin d’être facile, c’est en 1989 que Timothy a su saisir son opportunité en voulant acheter la station d’essence Caltex-Chevron après plusieurs mois de négociations. « Chaque fois, ils m’ont demandé si j’avais l’argent nécessaire pour acheter la station, et je leur répondais : « ne vous inquiétez pas, il n’y aura pas de problème. », précise Timothy, en sachant qu’il ne possédait que 50 dollars à la banque. « Je savais que Dieu possède tout l’argent dont j’ai besoin et que j’allais trouver une solution pour l’obtenir. Donc basé sur la confiance que j’avais en Dieu, je répondais en toute sérénité. » Grâce au bon témoignage de l’ancien employeur de Timothy, le banquier accepta de contourner les règles pour fournir un capital nécessaire afin d'acheter 2 500 litres de carburant diesel, 2 500 litres de kérosène et 2 500 litres d’essence. Le jour de l’ouverture de la station, la pénurie régionale de carburant a permis à Timothy de rembourser en deux jours ce que le banquier lui avait prêté. En 2008, il possédait 6 stations réparties dans les districts voisins, et deux à Kampala. Il possède également une société de distribution de boissons gazeuses. En Afrique, il est dit qu’un emploi nourrit 5 personnes. Si c’est le cas, 50 personnes reçoivent leur pain quotidien grâce à Timothy. En plus d’aider les orphelins, Timothy utilise ses propres économies pour parrainer et aider les petites entreprises. Timothy lance une nouvelle entreprise dénommée Talanta Finances - Microfinance Trust. Le nom a été choisi soigneusement afin de se référer à l’histoire de Jésus avec les talents.
11.09.2014