Une enquête au Royaume-Uni révèle que plus de la moitié des personnes divorcées regrettent leur séparation. L'enquête a été menée sur deux mille personnes divorcées, hommes et femmes confondus.
Lorsqu’il leur a été demandé si le divorce avait été le meilleur choix à faire, 54 % d'entre eux ont répondu « non ». La repentance est telle que 42 % souhaiteraient avoir une excellente relation avec leur ancien conjoint, voire recommencer à vivre ensemble. « De nombreux couples se sont séparés à cause de leur impulsivité. De plus en plus de gens veulent tout résoudre de manière instantanée, sans prendre le temps de se consacrer à la relation », a déclaré Daniela Ervolino, thérapeute conjugale. « Les gens ne parlent plus de leurs problèmes de peur de déclencher une dispute. La paresse en est une des causes. Parole et écoute sont les deux clés pour un mariage épanoui ». Si autant de couples divorcés expérimentent la repentance, c’est uniquement parce que leur conscience s’éveille lorsqu'ils se retrouvent seuls face à eux-mêmes. Dans cette étape de leur vie, ils réalisent à quel point la personne avec qui ils vivaient était importante pour eux et que finalement, l’herbe du voisin n’est pas aussi verte qu'il veut le prétendre !
24.09.2014

Un enfant sur cinq ne voit plus jamais son père à partir de sa majorité. À la suite d’une étude menée par l’INED (l’Institut National des Études Démographiques), il ressort que près de 20 % des enfants (garçons et filles) perdent définitivement le contact avec leur père à partir de leur majorité.
Cette étude a également révélé que plus de neuf enfants sur dix dont les parents sont séparés gardent le contact avec leur mère uniquement, au moins une fois par mois. En effet, la loi de 2002 impose au parent qui a la garde de l’enfant de le présenter à l’autre seulement jusqu’à ses dix-huit ans. Très souvent, c’est la mère qui obtient cette garde, car c’est généralement le choix des enfants de vivre avec leur mère. Cependant, il est aussi important de rappeler que près de 75 % des détenus dans les prisons ont grandi sans la présence d'un père à la maison. Il est donc vrai que la présence d’un père : - apporte un développement équilibré ; - préserve des risques de fugues et des tentatives de suicide ; - contribue à avoir de l’assurance et l’estime de soi. Décidément, toute séparation, non seulement dans le couple mais également avec les enfants, n'est pas sans conséquences.
18.02.2016
Les bienfaits de partir en vacances ne sont plus à prouver pour tout un chacun. Se reposer, se relaxer, se détendre, faire le plein d’énergie, etc., tous ces bienfaits personnels le sont aussi pour notre famille.
En effet, prendre des vacances ensemble nous permet tout d’abord de passer des moments de qualité, mais également de forger des souvenirs communs qui resteront, pour la plupart, inoubliables ! Notre course quotidienne nous offre peu d’opportunités pour de réelles conversations en tête à tête avec notre conjoint ou encore nos enfants. De plus, les imprévus des voyages ont toujours cette particularité de laisser derrière eux un goût amer au départ, mais si sucré ensuite après le « happy end » ! Partir en vacances ensemble permet également d’élargir les perspectives de vos enfants, de les sortir de leur routine, afin de les confronter à d’autres modes de vie, d’autres cultures. Plus un enfant sera exposé aux différences, plus il sera apte à les accepter. Le sortir de son cadre de vie quotidien permet en outre de lui apporter un apprentissage différent, de voir les choses sous un autre angle que l’école, la télévision ou internet… Quoi de mieux que le vécu, n’est-ce pas ? Peu importe que vous partiez à l’autre bout du monde ou au coin de la rue, l’essentiel est le temps que vous passerez ensemble, les souvenirs que vous créerez, les choses que vous découvrirez, les amis que vous vous ferez, les endroits que vous visiterez. C’est cela que vos enfants retiendront, et le fait que vous étiez là pour partager cela avec eux aura un impact durable sur eux !
02.09.2015
Alors que l'on veut à tout prix nous vendre, par le moyen d'un bourrage de crâne sans précédents, la « normalité du mariage homosexuel », des enfants élevés dans ces milieux veulent alerter la société quant aux mensonges de ce lobby.
Ces enfants, devenus adultes, ayant grandi dans une maison homosexuelle se sont lancés dans une bataille judiciaire pour faire l'apologie du mariage « traditionnel ». Ils plaident en faveur de la famille traditionnelle tout en dénonçant les ravages d'une éducation dispensée par des couples de même sexe. Assurément, la plupart des enfants de gays ou lesbiennes qui ont déposé des demandes en justice parlent de l’incapacité de leurs parents à leur offrir ce qu'une famille traditionnelle peut offrir, les privant ainsi d’une vie normale. Selon leurs récits, leur éducation aurait été agrémentée de sévices sexuels de la part de leurs parents et de leurs amis. « Quand un enfant arrive dans ce monde, il y a « deux droits » auxquels il peut prétendre : premièrement, le droit de vivre ; deuxièmement, le droit d’avoir une relation avec son père et sa mère », déclare l'un d'entre eux.
30.07.2015
Dix enfants environ ont été invités à écrire une lettre au Père Noël. Rapidement, les idées grouillent et la liste de cadeaux s'allonge.
L’animatrice de chez Ikea a voulu aller plus loin en demandant aux enfants d'écrire une « autre carte » ; une lettre qu'ils destinent à leurs parents. 

Que voulez-vous leur demander ? », questionne l'animatrice. Les enfants réfléchissent et finissent par énumérer des choses simples à demander à leurs parents : « je veux que vous dîniez avec nous », « J'aimerais que tu joues au cow-boy avec moi », « Je veux que tu me chatouilles et qu’on rit ensemble » ou encore « J'aimerais que tu me lises une histoire le soir »... 

Les parents furent émus de lire les souhaits de leurs enfants, bien que n’étant pas été surpris par de telles demandes. « Nous pensons donner le meilleur à nos enfants, mais nous réalisons que le meilleur, c'est nous ! », fait remarquer une mère émue. À cet instant, l’animatrice leur demande : « Des deux cartes, s’il fallait faire un choix, laquelle voudriez-vous envoyer ? » Les enfants ont unanimement indiqué que s'ils ne devaient envoyer qu'une seule carte, ce serait celle qui est adressée à leurs parents.
13.01.2015
En Australie, la Haute cour a annulé des mariages homosexuels célébrés dans la capitale du pays, le gouvernement précisant que c’était au Parlement d’autoriser de telles unions actuellement interdites au niveau fédéral.
En effet, au mois d'octobre 2013, plusieurs mariages gays avaient été célébrés après une autorisation donnée par l’Assemblée législative du Territoire de Canberra. De ce fait, le gouvernement avait saisi la justice dans le but d'annuler ces unions, car en Australie le mariage est régi par la loi fédérale et non pas par celle des six États et deux Territoires qui composent le pays. C'est à l'unanimité que la Cour de justice a rendu son verdict en déclarant : « La loi sur le mariage n’est pas valide pour la formation ou la reconnaissance du mariage pour des personnes de même sexe », et de continuer en précisant : « Selon la Constitution et la loi fédérale telle qu’elle est aujourd’hui, une autorisation légale du mariage homosexuel dépend du Parlement fédéral ». Au final, la décision de la Haute cour signifie que les mariages de 27 couples homosexuels célébrés ces derniers jours à Canberra sont déclarés inconstitutionnels et seront donc annulés. Le mariage homosexuel est explicitement interdit en Australie par la loi, qui précise que le mariage ne concerne que l’union d’un homme et d’une femme. Notons également que la décision de la Haute cour a affirmé que le mariage pour les personnes de même sexe n'était pas un sujet de discussion pour la majorité des habitants, et qu'il était « temps de tourner la page ».
19.11.2014
Nous vivons dans une société de l'enfance en danger. Un petit garçon nommé Jandre Botha, âgé d'à peine quatre ans a été battu à mort parce qu'il avait refusé d'appeler la compagne de sa maman « papa ».
Les deux femmes en question, Engeline de Nysschen et Hanelle Botha (la mère) âgées respectivement de trente-trois et trente et un ans, ont été reconnues coupables et condamnées à vingt-cinq ans de réclusion criminelle par le tribunal. Engeline de Nysschen est coupable de meurtre. Sa compagne, quant à elle, est condamnée pour son indifférence, car le garçon était régulièrement battu, et pour son mensonge dans le but de protéger sa partenaire.
28.10.2014
Il n’y a rien de mieux pour démontrer le préjudice de l'avortement que la récente révélation faite par la maman de Cristiano Ronaldo qui voulait avorter, alors qu'elle était enceinte de la star.
Dans son autobiographie publiée récemment « Mère Courage », la mère de Cristiano Ronaldo, Dolores Aveiro, a affirmé qu'elle a tenté d'avorter alors qu'elle était enceinte de lui, en essayant de « boire de la bière chaude » et « en continuant jusqu’à ce qu’elle s’épuise. » 
Dolores dit qu'elle avait rencontré son médecin afin de pratiquer un avortement, mais il n'était pas d'accord avec elle et a refusé de le faire. Elle a alors résolu de le faire elle-même en buvant de la bière chaude et en continuant avec l'espoir qu'elle interromprait la grossesse. 
« Je voulais avorter, mais le médecin n’a pas soutenu ma décision », écrit-elle dans son autobiographie. S'exprimant lors du lancement de l'autobiographie à Lisbonne, Dolores a indiqué que Ronaldo était déjà informé au sujet de son passé, et que d’ailleurs il plaisantait même à ce sujet. « Lorsqu’il l’a découvert, il m'a dit : Regarde maman, tu voulais me tuer, et maintenant je suis le seul qui pourvoit aux besoins financiers de la famille », dit-elle. Elle ajoute : « J'espère que « Planned Parenthood » et un certain nombre d'agences d’avortement écoutent attentivement cela. Chaque enfant vient avec une bouche à nourrir, deux mains pour vous aider et une tête pour créer et innover, et dans le cas de Christiano Ronaldo, deux jambes pour éblouir.
17.10.2014
Voici l'histoire d'un père qui malgré la paralysie des jambes de son fils, décide de l'emmener tous les jours à l'école en parcourant 30 km.
Selon le Dailymail, Yu Xukang parcourt cette longue distance avec son fils qu'il porte sur son dos, dans un panier spécialement confectionné pour lui. Malgré l'effort requis quotidiennement pour parcourir une telle distance, le père âgé de 40 ans a refusé de renoncer au garçon de 12 ans. Il raconta : "Je suis déterminé à ce que mon enfant ne souffre pas, alors je ferai tout pour lui donner les meilleures chances pour réussir dans la vie." Parce qu'il n'y avait pas de bus scolaires ni de transports publics appropriés, ce père a pris la décision de s’assurer que son enfant soit toujours présent à l'école. "Depuis le mois de septembre, tous les matins, je me lève à 5 heures pour lui préparer un petit-déjeuner, ensuite je parcours les 15 km aller puis retour, afin de le déposer à l'école. De retour à la maison, je me prépare pour aller travailler. Une fois l'école terminée, je vais chercher mon fils, puis je le ramène à la maison." La distance totale parcourue est estimée à environ 2 575 km. "Je suis fier du fait que mon fils soit le premier de sa classe, et j'espère qu'un jour il réalisera de grandes choses. Mon rêve est qu'il puisse aller à l'université." Cette traversée des collines fut médiatisée, C'est alors que le gouvernement local a proposé une chambre pour le papa, et des aménagements appropriés dans l'école de son fils. Dans le but d’alléger la charge de cet homme courageux, le gouvernement souhaite que l’école ait un pensionnat.
19.03.2014