L’histoire du SDF Glen James fait la Une des journaux internationaux. Après avoir trouvé un sac rempli de billets, il a restitué la somme.
Un samedi du mois de septembre 2013, Glen James fait la manche à proximité d’un magasin. Attiré par un sac oublié par son propriétaire, il s’avance vers le sac et y découvre 42 000 dollars. La somme d’argent est très importante, mais il décide de la restituer à son propriétaire. Son geste a été salué par le commissaire de police de Boston. L’histoire qui est rapidement relayée dans la presse, a ému de nombreux internautes. Lors d’une conférence de presse, Glen James était un peu impressionné et surtout gêné par cette médiatisation. Il a toutefois expliqué que " même si j’avais désespérément besoin d’argent, je n’aurais pas gardé un sou de l’argent que j’ai trouvé. " Les internautes sont alors émus par cette histoire, et l’un d’eux décide d’ouvrir une collecte de fonds sur le site « GoFundMe » en sa faveur. La somme d’argent a rapidement augmenté, et elle a atteint actuellement près de 97 235 dollars.
03.03.2014

Il est nécessaire de croire en Dieu pour avoir une moralité et de bonnes valeurs. C’est ce qui ressort d’une enquête du Pew Research Center, menée auprès de plus de 40 000 personnes dans quarante pays différents.
Cette position est soutenue dans 22 pays, et particulièrement en Afrique et au Moyen-Orient. En Asie et en Amérique latine, le lien entre la foi et la morale est aussi très présent, excepté parmi les Chinois qui ne croient pas nécessaire d’être croyant pour être une personne vertueuse. Les Américains et les Européens sont plus nuancés. Aux États-Unis, la moitié des personnes sondées pensent que croire en Dieu est lié à la morale. En France, en Espagne et en Grande-Bretagne, la proportion n’est plus que de 2 sur 10. Menée entre 2011 et 2013, cette enquête montre aussi que les pays pauvres associent plus souvent la spiritualité à la moralité que les pays riches. De même, les plus de cinquante ans sont plus susceptibles de faire le lien entre ces deux choses.
15.03.2014
Heinz-Horst Deichmann est un entrepreneur allemand qui dirige la plus grande chaîne européenne de chaussures, Heinrich Deichmann-Schuhe.
Sa notoriété, il ne la doit pas tant au succès de ses deux mille boutiques et aux quatre-vingt-dix millions de chaussures vendues par an, mais plutôt à son engagement social au sein de l’église. Plusieurs prix nationaux et internationaux lui ont été attribués, tels que l’ordre du mérite en 1989 ou encore le Prix national de leadership en 2008. Chrétien généreux et désintéressé, il a fêté ses quatre-vingt-huit ans, et a passé la direction de sa chaîne à son fils. Il continue néanmoins à tenir des réunions d’études bibliques une fois par semaine chez lui, et se rend fidèlement à son église évangélique. Peu de gens savent, qu'en fait, ce marchand de chaussures est un médecin diplômé de formation et un théologien. Par ailleurs, il est aussi un missionnaire dévoué qui, depuis des années, envoie des sommes colossales en Inde pour soigner les lépreux, les enfants démunis, les tuberculeux (dans le cadre de l'œuvre « wortundtat », ce qui signifie « la Parole et l'action »). Il soutient aussi d'autres projets en Allemagne (pour résorber le chômage des jeunes) et en Tanzanie. Il a donné, en 2005, quinze millions d’euros pour les victimes de la catastrophe du tsunami en Asie du sud. « Celui qui a beaucoup doit beaucoup donner », souligne Deichmann. « D’ailleurs, Dieu ne me demandera pas à la fin de ma vie combien j'ai vendu de paires de chaussures. Par contre, une chose est sûre, Il voudra savoir si j'ai vécu comme un vrai chrétien. »
15.03.2014
Après avoir laissé derrière lui son immense carrière de boxeur (trois titres de champion du monde, une médaille d’or olympique), George Foreman est à nouveau célèbre, mais cette fois-ci à cause de ses appareils à faire des grillades sans matières grasse !
De boxeur agressif, surnommé « Big George », il est devenu un homme d’affaires bien disposé ! « Depuis ma rencontre avec Jésus, tout a changé » dit-il. Aujourd’hui, il déclare que son style de vie a fait de lui ce qu’il est. Son intégrité personnelle guide chacune de ses décisions dans les affaires. Par exemple, il n’investit pas dans des produits ou des marques qui favorisent la consommation d'alcool. « Ma ligne de conduite, c’est de prendre des décisions avec lesquelles je peux dormir tranquille, me réveiller le lendemain, me regarder au miroir et être bien avec moi-même. Nous voulons tous laisser une trace derrière nous, mais des trophées, une statue et ce genre de choses n’ont pas de valeur. Laisser quelque chose dont tout le monde bénéficiera, c’est ce que je veux faire. » Il a fondé le Centre de jeunesse Georges Foreman, pour offrir aux jeunes la possibilité de sortir d'activités criminelles ou de gangs, en proposant des bourses scolaires et des activités sportives, dont, bien sûr, la boxe !
15.07.2014
En demandant son addition au restaurant, quelle n’a pas été la surprise de Jordan Smith lorsqu’elle a remarqué la réduction de 6 dollars sur sa facture, et surtout suite à l’explication de la serveuse : 
« Juste pour que vous le sachiez, nous vous avons accordé une réduction de 15% pour votre prière. » Cette femme a créé le buzz en postant la photo de son ticket sur facebook. Mary Haglund, fille de missionnaire et gérante du Mary’s Gourmet Diner, en Caroline du Nord, a en effet institué depuis 4 ans cette réduction : « Pour moi, chaque assiette de nourriture est un cadeau. Et je ne considère jamais cela comme un acquis. C’est pourquoi lorsque je vois quelqu’un dans mon restaurant exprimer cette reconnaissance, cela touche mon cœur. » Elle précise par ailleurs qu’elle ne fait pas cela dans le but d’attirer des clients, et que cela n’est d’ailleurs indiqué e part.
02.09.2014
La chaîne d’information CBS News raconte l’histoire inspirante et émouvante d’un jeune garçon de 8 ans qui a trouvé un billet de 20 dollars sur un parking de restaurant.
Myles Eckert, orphelin de père, s’apprête à manger au restaurant avec sa mère, quand soudain ses yeux croisent ceux d’un homme en tenue de soldat déjeunant avec sa famille. « Je voulais acheter un jeu vidéo avec ces 20 dollars, mais j’ai changé d’avis. », explique-t-il. Après avoir écrit un petit mot de remerciements au militaire, il lui offre son billet. « Mon père était un soldat. Il est maintenant dans le ciel. En arrivant ici, j'ai trouvé ces 20 dollars (… ) c’est votre jour de chance, merci pour votre service. » Ce petit mot, « je le regarde tous les jours », confie le lieutenant-colonel Frank Dailey. C’est un bien beau cadeau qui a éveillé sa conscience sur l’importance de donner. Aujourd’hui, ce lieutenant-colonel, impacté par le geste du petit garçon et par le sacrifice de son père mort au combat il y a plusieurs années, dit avoir une nouvelle direction pour sa vie. Quant à la maman de Myles, elle raconte que depuis ce jour, des dizaines de personnes, de son église ou d’ailleurs, désirent participer à cet acte de bonté en donnant à leur tour des billets de 20 dollars au jeune garçon.
02.09.2014
Vivant tous dans le même appartement à New York, trois étudiants découvrent dans le canapé, dans lequel ils étaient assis pour regarder un film, la somme de 40 000 dollars.
Ce sofa assez usé, acheté deux mois auparavant à l’Armée du Salut recelait entre ses coussins une fortune placée là par l’ancien propriétaire. C’est en s’installant tous les trois dessus qu’ils ont senti quelque chose sous les coussins. En poussant un peu plus leur curiosité, ils ont découvert ladite somme dissimulée dans le sofa. Sur l’une des enveloppes contenant l'argent, était inscrit le nom d’une personne. Alors, en toute honnêteté, ils ont cherché et retrouvé l’ancienne propriétaire du canapé, et lui ont rapporté les enveloppes. En remettant la somme à sa propriétaire, cette dernière leur a expliqué que c'était son mari décédé qui avait placé l’économie de trente ans dans ce canapé, et qu’après la disparition de son époux, sa fille avait vendu le sofa. Étant hospitalisée au moment de la vente du canapé, elle avait perdu la trace du meuble. En guise de récompense pour leur geste, elle leur a offert la somme de 1 000 dollars pour les remercier.
22.09.2014
Eric Fradin, quarante-sept ans, a perdu la vie un samedi lors du crash de son avion à proximité de Tarbes. Pour épargner la vie des habitants de la ville, il a refusé de s’éjecter de l’avion et est resté au contrôle de celui-ci, le maximum de temps qu’il a pu.
L'avion de tourisme qu’il pilotait, un Cessna 206, s'est écrasé dans un champ, entre une autoroute et des habitations, sans que l’on ne déplore d'autres victimes. Le président du Para Club de Tarbes discerne dans le geste héroïque du pilote un « réflexe militaire », une pratique qu'il aurait, selon lui, apprise lorsqu'il était dans l'Armée de l'air, et qui n'aurait pas pu être exécutée par n'importe quel pilote amateur. Une responsable de l'Armée de l'air confirme qu'il s'agit d'une règle « cardinale » en cas de crash aérien : si les pilotes sont formés pour éviter au maximum les crashs en zones habitées, elle ajoute que l'Armée ne demande pas le « sacrifice obligatoire des individus », laissant cette décision « au libre arbitre de chacun ». Des témoins, cités par La Dépêche, confirment : « Du sol, nous avons vu qu'il a tout fait pour maîtriser l'avion et éviter les habitations. » « La maison la plus proche était à trente mètres », précise Geoffroy Lagarde, président du Club, ajoutant que la manœuvre, relevant d'un sang-froid exceptionnel, n'était pas « à la portée de n'importe qui. »
23.09.2014
Deux jeunes scouts ont accompli quelque chose d’assez remarquable : ils ont reçu l'intégralité des médailles du Mérite, soit cent trente-cinq au total. Un exploit suffisamment rare pour être remarqué !
« Cela m’a aidé à devenir un meilleur citoyen et une meilleure personne », a témoigné le plus jeune. La majorité des scouts ne reçoit jamais toutes les médailles, et ceux qui à qui cela arrive y parviennent en général vers la fin de leur parcours. Ce qui rend leur histoire si particulière, c’est qu’ils ont à peine onze et treize ans ! C’est le record de précocité dans l’histoire du scoutisme. « Lorsque j’ai commencé, je ne pensais pas que j’atteindrais ce but aussi rapidement. Je trouvais cela amusant, alors j’ai poursuivi chaque médaille très rapidement. » Récompensés pour leur bravoure, leur esprit vaillant ou encore leur désir de servir leur prochain, ils n’auraient pu y arriver sans un peu d’aide. Par grâce, leur père les a beaucoup soutenus. Ce qui en résulte pour eux, c'est : « Je peux le faire ! », conclue-t-il. Le registre des scouts ne comptabilise que deux cent trente garçons ayant réussi ce tour de force dans toute l’histoire du scoutisme. Les deux adolescents y ont inscrit leur nom aux deux premières lignes !
24.09.2014